
L'équipe de Laurence Vial, chercheuse épidémiologiste au Cirad de Montpellier, a mis en évidence en octobre dernier, la présence du virus de la Fièvre Hémorragique Crimée-Congo (FHCC) dans des tiques de l'espèce Hyalomma marginatum collectées dans les Pyrénées-Orientales. Il s'agissait de la première détection de ce virus en France. D'après une étude révélée par l'Université de Corse, le même pathogène circule aujourd'hui dans des élevages de l'île. La scientifique acarologue répond à nos questions, en faisant valoir ses recherches menées depuis de nombreuses années sur les tiques. Quels sont les risques de transmission de ce virus à l'homme ? Les risques sont très faibles, car la proportion de tiques infectées dans l'environnement est faible également. En
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