
Cela a commencé « dès la naissance. » « La petite déprime prenait de l’ampleur, mon fils ne mangeait que très peu, je me sentais totalement isolée, incomprise face à mon inquiétude, à ma charge mentale », raconte Samantha (le prénom a été changé), 26 ans, qui a donné naissance à un petit garçon il y a un peu plus d’un an. Des idées noires lui sont ensuite venues à l’esprit. « Je commençais à me dire que mon conjoint se débrouillerait mieux sans moi avec notre fils. Que je rendais tout le monde malheureux et que le mieux serait peut-être que je disparaisse », raconte la jeune maman. Son médecin traitant a fini par la rediriger vers un psychiatre, qui a posé un diagnostic : dépression post-partum. À quelques années d’écart, Samantha aurait-elle pu bénéficier d’un médicament spécifique ?
https://news.google.com/rss/articles/CBMiugFodHRwczovL3d3dy5sZXBhcmlzaWVuLmZyL3NvY2lldGUvc2FudGUvZGVwcmVzc2lvbi1kdS1wb3N0LXBhcnR1bS1ub3V2ZWF1LXRyYWl0ZW1lbnQtYXV0b3Jpc2UtYXV4LWV0YXRzLXVuaXMtdnJhaWUtYm9ubmUtbm91dmVsbGUtb3UtZmF1eC1lc3BvaXItMDYtMDgtMjAyMy1PR1hFSzdRTzU1QTVWSFFSNElXR1FOSlFZRS5waHDSAQA?oc=5Bagikan Berita Ini
0 Response to "Dépression post-partum : nouveau traitement autorisé aux États-Unis, vraie bonne nouvelle ou faux espoir ? - Le Parisien"
Post a Comment