Dans un communiqué de l'Agence régionale de santé des Hauts-de-France, l'organe de santé publique dévoile qu'une étudiante est morte à la suite d'une "méningite bactérienne".
Une étudiante de l'Université catholique de Lille est décédée après avoir contracté une méningite bactérienne, a indiqué l'Agence régionale de santé des Hauts-de-France ce vendredi 9 février.
D'après l'ARS, cette étudiante avait été en "contact rapproché" avec un total de treize personnes au cours des dix derniers jours.
En ce sens, "les équipes de veille sanitaire ont contacté ces dernières heures, en lien avec les équipes de l’université, l’ensemble des personnes" concernées par ces contacts avec l'étudiante malade "afin de leur prescrire un traitement antibiotique préventif".
"Risque de transmission faibles"
L'ARS précise que "la méningite présente des risques de transmission faibles". Pour que le risque soit avéré d'après l'agence, il faut que des "contacts étroits, rapprochés et répétés" aient eu lieu avec la personne infectée, et ce "pendant les dix derniers jours (durée maximale de la période d’incubation)".
"Partager son verre ou se faire la bise ne présentent par exemple pas de risque de transmission", écrit l'Agence régionale de santé des Hauts-de-France.
Selon l'organe de santé publique, "la fermeture ou la désinfection des locaux sont inutiles (...), le germe ne survit pas dans l’environnement extérieur."
"Les étudiants et le personnel peuvent continuer à fréquenter normalement l’établissement", conclut l'ARS.
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